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By Seven
LE GUIDE DU VOYAGEUR GALACTIQUE
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SUMER

EGYPTE - HORUS OU LE 3e OEIL : Horus est vénéré dans tout le territoire égyptien. Il est une des divinités majeures et certainement une des plus anciennes. C’est le dieu de l’azur, il voit à travers le soleil et la lune. On peut le trouver sous deux formes : celle d’un enfant suçant son pouce (Harpocrate chez les grecs) ou celle du puissant dieu faucon. Il est souvent appelé « le vengeur de son père ». Avec Osiris et Isis, il forme ce qu’on appelle une triade. Il est le fils posthume d’Osiris et d’Isis. En effet, Seth tua son frère Osiris et le découpa en de nombreux morceaux de façon à disséminer son corps dans toute l’Egypte. C’est Isis qui eut le courage de tout rassembler. Son mari devint alors le dieu des morts et leur fils Horus naquit. Par la suite, des querelles très violentes eurent lieu entre Horus et Seth. Celui-ci voulait se venger pour ce que son oncle avait fait à son père. D’autre part, tous deux se disputaient le trône d’Egypte. Horus finit par gagner et devint le premier des pharaons. Les rois d'Égypte sont considérés comme les incarnations du dieu Horus qui est leur protecteur. À l'opposé de Seth qui représente le Mal, Horus incarne le principe du Bien, mais il ne faut pas réduire la vision complexe des égyptiens au dualisme moderne. Lors de son combat avec Seth, il perdit son œil, mais le retrouva par la suite grâce à Thot. Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire du bien sur le mal. Porté sous forme d'amulette, il rendait invincible et apportait la clairvoyance.
EGYPTE : HORUS OU LE 3EME OEIL
Horus est vénéré dans tout le territoire égyptien. Il est une des divinités majeures et certainement une des plus anciennes. C’est le dieu de l’azur, il voit à travers le soleil et la lune. On peut le trouver sous deux formes : celle d’un enfant suçant son pouce (Harpocrate chez les grecs) ou celle du puissant dieu faucon. Il est souvent appelé « le vengeur de son père ». Avec Osiris et Isis, il forme ce qu’on appelle une triade.
Il est le fils posthume d’Osiris et d’Isis. En effet, Seth tua son frère Osiris et le découpa en de nombreux morceaux de façon à disséminer son corps dans toute l’Egypte. C’est Isis qui eut le courage de tout rassembler. Son mari devint alors le dieu des morts et leur fils Horus naquit. Par la suite, des querelles très violentes eurent lieu entre Horus et Seth. Celui-ci voulait se venger pour ce que son oncle avait fait à son père. D’autre part, tous deux se disputaient le trône d’Egypte. Horus finit par gagner et devint le premier des pharaons. Les rois d'Égypte sont considérés comme les incarnations du dieu Horus qui est leur protecteur.
À l'opposé de Seth qui représente le Mal, Horus incarne le principe du Bien, mais il ne faut pas réduire la vision complexe des égyptiens au dualisme moderne.
Lors de son combat avec Seth, il perdit son œil, mais le retrouva par la suite grâce à Thot. Appelé « Oudjat », cet œil représente la victoire du bien sur le mal. Porté sous forme d'amulette, il rendait invincible et apportait la clairvoyance.

HORUS OU LE TROISIEME OEIL

Dessin de Descartes expliquant la fonction de la glande pinéale ou Le troisième œil (également dit «œil intérieur » ou « œil de l’âme ») est une métaphore mystique et ésotérique qui désigne, au-delà des yeux physiques, un troisième regard, celui de la connaissance de soi. Dans certaines traditions, le troisième œil est symboliquement placé sur le front, entre les sourcils.



JEROME BOSCH
CROP CIRCLES

Les Crop Circle ou en français les "Cercles dans les champs de blé" sont des formations très bizarres qui apparaissent depuis plusieurs dizaines d'années partout dans le monde. On en note même quelques uns dans le passé, mais très rarement. On peut dire que le phénomène s'est surtout accentué dans les années 90. Le rythme de leur création est très important: on en dénombre plusieurs dizaines ou centaines par an, et cela en tous endroits du globe. Le lieu de prédilection de leur apparition a été l'Angleterre et le reste encore, mais il y en a sur tous les continents, Américain et Européen surtout.
CROP 3

Quels sont les faits anormaux? * D'abord, les céréales (souvent le blé) ne sont pas piétinés ou écrasés, ni les tiges cassées, ils ont subi une déformation de la tige à la base par surchauffe de l'intérieur de la tige, la seule explication donnée par des biologistes à la chose étant un chauffage par un faisceau de micro-ondes. Les blés continuent à pousser, la structure de la tige ayant été modifiée. La génétique même de la plante est modifiée et souvent la croissance est plus rapide. * Ensuite, les céréales ne sont pas au sol au hasard: elles sont tressées et empilées les unes sur les autres suivant des couches en tissage, de manière minutieuse. * Pour continuer, des anomalies magnétiques sont présentes au sein des Crop Circle, et mystérieusement, les batteries et piles électriques se déchargent beaucoup plus vite dans les Crop Circle. Les appareils électroniques cessent souvent de fonctionner. Des nausées se font ressentir de temps en temps. Des sons à basse fréquence sont audibles parfois. * Puis, il y a des témoignages de personnes ayant vu les champs avant la formation du Crop Circle et après sa formation, le tout n'étant séparé que de quelques minutes parfois (un aviateur qui survole un champ à l'aller et au retour, des automobilistes qui passent le long d'une route jouxtant un champ où se forme un Crop, etc.), pour des réalisations qui prendraient au minimum des heures de travail à des humains * Enfin, dans les faux Crop Circle réalisés par des hommes, les tiges de blé sont écrasées et cassées par la marche des pieds ou autre objet pour aplatir le blé (aucune marque de surchauffe par micro-onde!!), pas courbées comme dans les vrais, et leurs Crops n'ont jamais égalé la précision de travail géométrique fine des véritables Crop Circle: les formes géométriques humaines ont des angles imparfaits, les cercles ne sont pas réguliers alors que dans les véritables Crop Circle, les marges d'erreur de constructions sont petites et surtout négligeables devant celles des constructions humaines. * Ajoutons qu'aucun des groupes proclamés de "Faiseurs de Crop Circle" n'a jamais été capable de réaliser un Crop Circle équivalent en taille et en précision à ceux qu'on observe (bien sûr les médias se contentent comme preuve de voir un papi qui trace deux cercles et une trait de 10m de long dans un champ pour résoudre l'affaire!!) avec l'ensemble des contraintes et effets précédemment cités. Il existe des faux bien sûr, mais l'enquête sur le terrain permet de discerner les faux des vrais (surchauffe par micro-ondes, particules magnétiques, tissage des blés sans écrasement ni cassure, etc.)
CROP CYCLES
Annie Samuelson, Etres et cosmos, partie 1 sur 3
envoyé par annie314. - Futurs lauréats du Sundance. L'UNIVERS DE ANNIE SAMUELSON EXPOSITION GALERIE BEAUX ARTS PARIS (2004)
MARCEL DUCHAMP (1887-1968)

MARCEL DUCHAMP (1887-1968) : Peintre, plasticien, homme de lettres français, naturalisé américain en 1955]. Inventeur des ready-made au début du XXe siècle, sa démarche artistique exerce une influence majeure sur les différents courants de l'art contemporain.Marcel Duchamp a révolutionné la conception académique de l’art qui, jusqu'alors, ne jugeait la valeur d'une œuvre qu'à l'aune des efforts et du travail dispensés pour une finalité édifiante. L'hétérogénéité de ses moyens d'expression et la complexité de ses œuvres, de la peinture (Nu descendant un escalier en 1913), à l'installation plastique la plus hermétique (Étant donnés..., "inachevée" en 1966) en passant par les objets « tout fait » (Fontaine (un urinoir), Porte-bouteilles) décrétés œuvres d'art par sa seule volonté, associées à sa constante revendication du « droit à la paresse », ne permettent de le classer dans aucun des mouvements artistiques du XXe siècle. Duchamp a traversé le cubisme, le futurisme, Dada et le surréalisme en s'excluant de lui-même de tout courant.

Marcel Duchamp, déguisé en Rose Sélavy. Photographié par MAN RAY

duchamp



Yves Klein : « Globe terrestre bleu », 1962 © Collection particulière, © Adagp, Paris 2006 - KLEIN : Franchir le seuil de l’invisible. Du bleu aux trois couleurs Qu’évoque le nom d’Yves Klein, si ce n’est tout d’abord le bleu outremer de ses tableaux monochromes ? Ces peintures mystérieuses, à l’aspect velouté, qui à chaque fois qu’on les voit procurent l’impression de plonger dans la couleur pure, sont en effet les œuvres les plus connues de l’artiste, au point de devenir emblématiques de son travail. Yves Klein a lui-même associé son nom au bleu de ces tableaux en le baptisant du sigle IKB, International Klein Blue, et signait souvent ses œuvres « Yves le Monochrome ». Pourtant, l’œuvre d’Yves Klein se limite-elle à ces tableaux ? Dès ses premières années, outre ces réalisations, il propose une multiplicité d’œuvres qui rompent avec le caractère malgré tout traditionnel des Monochromes, lesquels sont encore des peintures sur toile. Il crée des œuvres éphémères et immatérielles, comme un lâcher de mille et un ballons bleus dans le ciel de Paris en 1957, une exposition qui n’est qu’une galerie vide en 1958, ou la vente de « zone de sensibilité picturale immatérielle » en 1959. Il publie des manifestes qui invitent à interpréter son œuvre dans le sens d’une quête de l’immatériel. Ainsi les monochromes bleus ne seraient que la face la plus visible de son art, comme les traces d’un travail plus fondamental mais qui reste à découvrir, ou comme le dit Klein lui-même : « Mes peintures ne sont que les cendres de mon art ». L’exposition Yves Klein. Corps, couleur, immatériel propose d’effectuer une relecture de l’œuvre de Klein à partir de cette déclaration, en situant les Monochromes bleus dans un ensemble plus vaste, comme la première étape d’un travail qui prend appui sur le visible pour franchir le seuil de l’invisible. Couleur de la sensibilité, le bleu n’est en effet que l’une de celles qu’il utilise dans les Monochromes ou les autres œuvres de sa maturité, relayée par l’or, matière de la transaction et du passage vers l’immatériel, et le rose figurant la chair, le spirituel incarné. A travers trois chapitres « Imprégnation », « Illumination de la matière » et « Incarnation » qui répondent aux trois couleurs, l’exposition retrace ce parcours de l’artiste et s’achève par la réunion des trois couleurs au sein d’œuvres tripartites, évoquant une trinité kleinienne : rassemblés en une œuvre, le bleu, l’or et le rose constituent le lien qui unit la chair et l’esprit et assure la transition de l’un à l’autre. Par cette trilogie des couleurs, l’artiste adapte le dogme religieux de l’incarnation à la problématique artistique, en le mettant à la disposition de chacun pour qu’il accède à l’invisible : « Ce qu’Yves Klein met en place est destiné à s’effacer devant le dialogue que le regardeur établit avec un au-delà, qui reste pour chacun à définir, et dont l’artiste se contente de proposer le principe, le moteur » (Camille Morineau, commissaire de l’exposition, in « Le Bleu, l’or et le rose : comment appropriation rime avec sublimation », catalogue de l’exposition). Revisitée de cette manière, l’œuvre d’Yves Klein peut être interprétée comme une ouverture généreuse vers l’au-delà dont chacun rêve.
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Klein 1
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Klein 3

SALVATOR DALI

Dali nu en contemplation devant cinq corps réguliers métamorphosés en corpuscules, dans lesquels apparaît soudainement la Léda chromosomatisée par le visage de Gala - Dali 1954
LUCIO FONTANA
F2

Art Spatial (Informel) - Fontana 2


Robert Smithson (2 janvier 1938 – 20 juillet 1973), considéré comme le théoricien du Land Art[réf. nécessaire], est un artiste contemporain dont la production pourrait être liée entre autres à l'art minimal et au Land Art. Smithson est né au New Jersey. Il étudie la peinture et le dessin dans la ville de New York.Après avoir eu son diplôme de l'Art Student's League en 1956, il s'inscrit à la Brooklyn Museum School. D'abord orienté vers la peinture abstraite, il la délaisse pour se consacrer, dès 1962, à la sculpture. Celle-ci adopte rapidement des formes géométriques simples, en partie influencées par la cristallographie. Auteur de nombreux textes critiques et théoriques[1] largement diffusés par les revues d'art américaines (parfois en collaboration, avec Mel Bochner par exemple), le médium imprimé lui donne la possibilité de développer les aspects discursifs, spéculatifs et documentaires de son travail. Les formes industrielles ou vernaculaires de l' architecture lui apparaissent comme de très parfaites allégories du monde moderne. Il travaille assez rapidement sur des sites suburbains : en 1967, il publie dans Artforum un texte et une série de photographies documentant les édifices de sa ville natale (un "Tour des monuments de Passaic"). Les édifices (qui vont du pont au bac à sable en passant par le tuyau d'écoulement des égoûts) sont qualifiés de "monuments". Ces édifices, exemplaires d'une certaine modernité industrielle, sont décrits comme des "ruines à l'envers". Sa métaphore favorite pour décrire ce phénomène du devenir-ruine de tout ce qui prétendrait à une inaltérabilité radicale (l'architecture, les concepts, le langage, les classifications muséales) est celle de l'entropie. Le travail de Smithson, loin de se cantonner uniquement aux extérieurs, effectue des allers-retours incessants entre l'institution (le musée, la galerie) et des territoires encore vierges d'intervention (le paysage américain par exemple). Un certain nombre de ses productions sculpturales, de très grande échelle, sont aussi des œuvres de caractère éphémère (Spiral Jetty, par exemple).Construites à l'aide de machines industrielles, elles sont établies dans des lieux parfois difficilement accessibles. Le 20 juillet 1973, il décède dans un accident d'avion.

Jasper Johns, Jr., né le 15 mai 1930 à Augusta, Géorgie, États-Unis, est un peintre et dessinateur américain. Il est avec Rauschenberg à l'origine du pop art. Il peint des séries entières représentant des drapeaux, des chiffres ou des cibles sur toile. Par la suite, il prend pour sujet des objets de la vie quotidienne, ustensiles, couverts ou boîtes de conserve, traités comme des pièces détachées qu'il intègre à ses travaux.


Artiste américain né en 1937, Robert Mangold affirme volontiers qu"il est plus intéressé par la « peinture comme objet » que par la « peinture comme fenêtre », rappelant qu’il est moins passionné par ce qui est existe artistiquement entre la Renaissance et Cézanne, que par ce qui précède la Renaissance et ce que l’œuvre de Cézanne induit de changement dans l’art et provoque à sa suite au xxe siècle. Profondément marqué par Newman et Rothko, reconnaissant l’influence première de l’Expressionnisme abstrait sur son travail et de l’idée de la peinture comme « champ d’action » (Pollock), Mangold pose dans son œuvre la question de la monumentalité de la peinture et de l’immédiateté de son impact, mais aussi les bases d’une nouvelle approche de l’art où apparaissent comme essentielles les propriétés physiques de l’œuvre d’art - la frontalité, la planéité et les conditions matérielles de la peinture doivent suffire à créer l’énergie propice à la naissance de réactions sensibles. Les toiles de Mangold sont le plus souvent monochromes, aux contours irréguliers, de vastes dimensions : leur présence est immédiatement effective, leur radiation inhabituelle, provoquant une expansion de l’espace concret de la toile dans l’espace environnant et vers le spectateur.

Les analyses de Kandinsky sur les formes et sur les couleurs ne résultent pas de simples associations d’idées arbitraires, mais de l’expérience intérieure du peintre qui a passé des années à créer des peintures abstraites d’une incroyable richesse sensorielle, à travailler sur les formes et avec les couleurs, observant longuement et inlassablement ses propres toiles et celles d’autres artistes, constatant simplement leur effet subjectif et pathétique sur son âme d’artiste et de poète d’une très grande sensibilité aux couleurs. Il s’agit donc d’une forme d'expérience purement subjective que chacun peut faire et répéter en prenant le temps de regarder ses peintures et de laisser agir les formes et les couleurs sur sa propre sensibilité vivante. Il ne s’agit pas d’observations scientifiques et objectives, mais d’observations intérieures radicalement subjectives et purement phénoménologiques qui relèvent de ce que le philosophe Michel Henry appelle la subjectivité absolue ou la vie phénoménologique absolue.

[...] L'énonciation éditoriale sur l'écran n'exprime pas seulement les choses avec des mots. C'est à cette énonciation sur la page que revient de dire souvent l'inexprimable, de saisir ce qui ne saurait se dire avec des phrases. De plus, la présentation des images, sons et vidéos devient un passage vers cet inexprimable: l'inconscient, le métaphysique, le symbolique ou le surréel. Ou comme dit Kandinsky au sujet de la composition d'un tableau, le spirituel…


Victor Vasarely 2

Victor Vasarely 3 ET 4


JUAN MIRO
Joan Miró (Joan Miró i Ferrà en catalan) est un peintre, sculpteur, graveur et céramiste catalan. C'est l'un des principaux représentants du mouvement surréaliste. Il est né le 20 avril 1893 à Barcelone et est décédé à Palma de Majorque le 25 décembre 1983.
Son œuvre reflète son attrait pour le subconscient, pour « l'esprit enfantin », et pour son pays. À ses débuts, il montre de fortes influences fauvistes, cubistes et expressionnistes, avant d'évoluer vers une peinture plane avec un certain côté naïf. Le tableau intitulé La Ferme, peint en 1920, est l'une des toiles les plus connues de cette époque.
À partir de son départ pour Paris, son œuvre devient plus onirique, ce qui correspond aux grandes lignes du mouvement surréaliste auquel il adhère[4]. Dans de nombreux entretiens et écrits des années 1930, Miró manifeste son désir d'abandonner les méthodes conventionnelles de la peinture, pour — selon ses propres mots — « les tuer, les assassiner ou les violer », favorisant ainsi une forme d'expression contemporaine. Il ne veut se plier à aucunes exigences, ni à celles de l'esthétique et de ces méthodes, ni à celles du surréalisme[5].
En son honneur a été fondée à Barcelone la « Fondation Miró », en 1975. C'est un centre culturel et artistique dévolu à la présentation des nouvelles tendances de l'art contemporain. Elle est initialement alimentée par un important fond offert par le maître. D'autres lieux possèdent d'importantes collections d'œuvres de Miró, comme la Fondation Pilar et Joan Miró de Palma de Majorque, le Musée national d'art moderne de Paris et le Museum of Modern Art de New York.


::LA SCIENCE::VUE DES ARTS:: Cette structure tridimensionnelle dont le coeur ressemble a une éponge est une image fractale. Ce type d'image est basé sur une superposition de mailles indépendantes à N dimensions. Si N est supérieur à 2, l'image peut même être animée pour simuler par exemple des nuages ou un tremblement de terre. Image © Jean-Francois Colonna

Voici l'interprétation graphique d'un problème concernant les voies ferrées et le transport de frêt dans le sud de l'Angleterre. © Warren B. Powell and Belgacem Bouzaiene-Ayari Department of Operations Research and Financial Engineering

La théorie des supercordes, qui vise à unifier la mécanique quantique et la relativité générale, suppose l'existence de dimensions supplémentaires dans l'espace-temps. Celles-ci pourraient être "compactes" et "enroulées" sur elles-mêmes sous la forme de variétés de Calabi-Yau, dont une possible est présentée sur cette image en 3 dimensions. Image © Jean-Francois Colonna


Cette image montre l'évolution de motifs formés par une substance tensioactive (comme le savon) dans une fine couche de liquide. © A.Darhuber/ B.Fischer/ S.Troian, Microfluidic Research and Engineering Laboratory, Department of Chemical Engineering

Un virus infectant une cellule humaine. Cette image est permise par l'immunofluorescence. En bleu, l'ADN cellulaire, en rose, les protéines virales. © Joerg Schroeer Department of Molecular Biology

Un nuage conique de microsphères de silicone flotte dans un plasma au dessus d'un plateau. C'est beau et utile pour l'étude des plasmas spatiaux. © Elle Starkman and Andrew Post-Zwicker Princeton Plasma Physics Laboratory

Pour comprendre les échanges et les règles qui règnent au sein d'une fourmilière, un chercheur a marqué les insectes afin d'en discerner les comportements individuels. © Stephen Pratt/Department of Ecology and Evolutionary Biology